Quand arrive le jour où le destin nous rapproche, il est courant de devoir assumer de vieux griefs du passé. Professeur Max m'avait promis une sanction exemplaire suite à une bêtise que j'avais commis quelques mois plus tôt. C'est avec justice qu'il m'informa de sa volonté de me punir pour mon insolence lors de mon passage près de chez lui. J'espérai que mon Maître viendrait à mon secours. Comme toujours, je lui informais de la demande de Professeur Max et le mis en contact avec lui. Ce qu'il se passa entre ne me fut pas communiquée. Mon Maître m'habitue à ne pas avoir à imaginer ce que demain sera mais juste à vivre ce qu'aujourd'hui m'offre. Cela est très agréable car la vie semble bien plus paisible ainsi, même si parallèlement, un jeu se dessine pour mon plus grand plaisir.
Une semaine avant le jour J, mon Maître décida de taire sa décision sur la rencontre avec Professeur Max, laissant dans mon organisation la programmation d'une rencontre de retrouvailles. De son côté Professeur Max n'en disait guère plus, si ce n'est qu'il était déterminé à me faire payer mes insolences qui entrent temps c'était cumulé selon lui. J'avais beaucoup de mal à le croire, car j'ai pour habitude de prendre bien soin de mes relations. Les taquineries et quelques provocations n'ont pour objectif que leur bien être psychique et l'entretien d'une intelligence cognitive indispensable à leur équilibre mental. Bref, en résumé, je prends bien soin d'eux pour leur plus grand bien.
Mon Maître, au même titre que Professeur Max apprécie beaucoup mon humour, mais tel un boomerang, mon bien être me revient de plein fouet à mon bon souvenir et s'impose à moi comme une faute qui ne peut être effacée qu'après une sanction dûment appliquée. Trente minutes avant de retrouver Professeur Max je reçus un SMS de mon Maître :
"Tu vas te mettre en robe sans culotte. Et tu te tiens à sa disposition. "
Je compris alors que je devrais accepter la punition et obéir à Professeur Max. Par contre, je n'avais pas prévu de robe durant mon séjour et par conséquent il m'était impossible de satisfaire la demande de mon Maître. Je ne pouvais pas faire autrement que lui dire la vérité. Et sa réaction ne se fit pas attendre. Bien que l'échange ne se faisait que par SMS, je sentais dans ses mots l'insatisfaction et le "on en reparlera samedi pour ta punition" me fit froid dans le dos.
Les retrouvailles avec Professeur Max furent chaleureuses. Après avoir s'être désaltéré et passé l'étape de retrouvaille, Professeur Max pris le contrôle de la situation.
- "Tu sais pourquoi je suis là ?" m'interroge-t-il avec un sourire en coin.
- "Oui bien sûr. ça fait si longtemps qu'on ne s'était pas vu. Je te manque tellement que tu as tout fait pour venir me voir aujourd'hui. Je suis très émue d'ailleurs." J'avais très bien compris où il voulait en venir, mais mon côté chipie prenait l'ascendant. Il fallait donc que je trouve une solution pour retarder encore un peu l'inévitable.
- "C'est un fait. Et je suis très heureux de te retrouver. Néanmoins ..."
Je l'interrompais
- "Nez en moins ? Mais qu'as-tu fait à ton nez ? Tu ne sens pas la punition ? Tu la trouves tout compte fait injuste ?"
- "Pas vraiment non et nous allons régler cela de suite". Sur ces mots il se dirigea vers le canapé.
Je le suivais par envie du jeu qui allait suivre. Il avait récupéré son martinet nommé "caressante" qu'il posa sur la table basse.
- "Tu ne devais pas être en robe ? " me demanda-t-il ?
- "J'en ai pas ici. Mais comment tu sais ça ? "
- "J'ai reçu un SMS de ton Maître avant d'arriver".
Puis il m'attrapa par le bras et me fis m'allonger sur ses genoux. La fessée commença avec des paroles que je refusais d'écouter préférant réfléchir au tour que j'allais bien pouvoir lui faire. Malheureusement pour moi, ses chaussures n'avaient pas de lacets, il me fallait donc trouver autre chose. Pendant ce temps les claques tombaient sur mes fesses et, surement l'effet du printemps, je perdais progressivement mes vêtements pour me retrouver les fesses à l'air. Les claques me piquaient et leur rythme provoquaient un réel plaisir. Ce qui me motiva à trouver rapidement une bêtise à faire pour la faire durer un peu plus.
C'est alors que l'instant s'offrit à moi. Professeur Max était très occupé à vouloir prendre mes fesses en photo comme lui avait demandé mon Maître. Mais n'arrivant pas à le faire, il a momentanément détourné sa surveillance. Je saisis l'occasion pour récupérer sa "caressante" et d'un geste précis et rapide, je l'a cachée sous le canapé. Et tout anodinement je repris ma position, en lui montrant que cela devenait inconfortable.
- "On n'a pas fini. Tu vas à présent goûter de ma caressante."
Puis s'apprêtant à prendre son martinet
- "Mais où as-tu mis ma caressante ? "
- "De quoi tu me parles Max ? j'ai pas bougé de ma position. Comment veux-tu que je sache où tu as mis ton martinet ? "
Professeur Max n'avait pas du tout l'intention de perdre son temps à chercher l'instrument. Et bien qu'il ne m'ait pas vu cacher le martinet, il avait senti ma bêtise (même avec le nez en moins, ce qui est surprenant).
- "Donne-moi la caressante que je finisse la punition."
- "Et si je ne veux pas te la donner que va-t-il se passer ? " demandai-je avec beaucoup d'ironie et d'insolence.
- "Je me mettrai en colère et tu seras doublement punie."
A l'idée de le mettre en colère, même pour un jeu me déplu fortement, car je devais aussi honorer mon Maître. Et donc là, j'aurais été en faute et ça, je ne l'acceptais pas. Je récupérai la "caressante" et l'a lui donnée. Il finit la punition.
Durant les dernières photos debout, je sentais mes fesses chauffer. J'étais surprise de cet effet et j'ai beaucoup apprécié.
J'ai passé une très bonne partie de jeu avec des sensations très agréables. Je remercie mon Maître et Professeur Max de m'avoir ainsi apporté du plaisir. Et promis, je recommencerai mes bêtises.
Sourire en coin,
RépondreSupprimerMais nez en moins
Caressante au poing
J'ai bien pris soin
D'un beau derrière chafouin...
...
Je ne comprends toujours pas l'accord de mon Maître sur cette injuste sanction. (Hihi) Mais j'ai aimé son déroulement et ces sensations.
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