Pour cette nouvelle séance, mon Maître avait longuement réfléchit au plaisir qu'il souhaitait me faire découvrir. Il ne m'avait à son habitude fait part d'aucun indice susceptible de me guider dans ses intentions de jeu. Je pris la route sereine mais avec l'esprit bien préoccupé à cette séance à venir si mystérieuse une fois de plus.
La route fut tout sauf tranquille. Les départs en vacances formaient sur la majeur partie du trajet un bouchon dont j'aurai volontiers fait sauter à cause du retard qu'il entraînait à mon rendez-vous. Toutefois, je ne cédais à aucun énervement. Après tout ça n'allait pas changer la situation et autant ne pas gâcher la séance à venir avec un quelconque énervement inutile. Je préviens mon Maître de la situation pour qu'il ne s'inquiète pas de trop lors d'un arrêt prolongé sur la route.
Enfin arrivée au lieu de rendez-vous j'informe mon Maître de ma présence et attend sagement le signal pour le rejoindre. J'avais une envie de pipi, forcément avec un temps de route bien plus long que prévu. Pour cette séance mon Maître m'avait demandée de garder ma culotte du matin et de garder le rosebud dans mon sac. Porter une culotte est tout de même plus agréable car j'ai l'impression d'être un peu plus protéger. Mais en aucun cas, j'avais imaginé le programme qui m'attendait.
Enfin le signal ! je rejoins mon Maître qui m'attend avec impatience. Forcément, son plus grand plaisir est de me faire traîner avant d'aller soulager mon envie pressante, sourire au coin. Il m'ordonna d'ôter tous les accessoires sans intérêt pour le jeu et m'autorisa à aller au toilette. Alors que j'apprêtais à fermer la porte, il la bloqua et resta planté devant moi pour m'observer dans cette situation fort humiliante. Il m'interdit le droit de m'essuyer m'obligeant à remettre ma culotte dans ses conditions.
De retour dans la pièce principale, mon Maître me dit : "Connais-tu l'histoire de la culotte qui ne sert à rien ? " Je le regardais surprise, car jusqu'à présent, j'avais toujours bien saisi l'intérêt et l'usage du port de la culotte. Mais là où voulait-il en venir ? Je ne savais pas et je n'allais pas tarder à le découvrir. Il commença par passer ses doigts entre les élastiques et à tirer dessus imposant au tissus des formes pour les moins originales. Mes lèvres sont alors divisés par le tissus qui exerce une pression ondulante sur le clitoris. Un plaisir étrange s'installe alors en moi, mélange d'excitation d'une situation inattendue et l'envie de vivre ce jeu. La culotte craque, gémit, mais refuse de céder à mon Maître.
La résistance de la culotte n'effraie en aucun cas mon Maître qui décide alors de tendre sa toile autour de mes seins formant un soutien-gorge solide et à la corde suffisamment tendue. Puis à l'aide d'une deuxième corde, il me crée un string tout aussi tendu. Puis saisissant son stimulateur, il fit vibrer les cordes sur tout mon corps. L'instrument de musique que j'étais devenue en cet instant précis subissait les ondes de plaisir sur mon corps intégral. Le plaisir s'intensifiait et occupait entièrement mon esprit. Je ne pouvais plus percevoir ce qui m'entourait, si ce n'est l'épaule rassurante de mon Maître satisfait de l'effet provoqué.
Il m'autorisa à m'allonger sur la table basse et poursuivi jusqu'à la jouissance. D'abord une première fois où elle fut intense et puissante du fait de la préparation durant la semaine. Et puis une deuxième tentative d'un plaisir fougueux mais qui n'a pas abouti à la jouissance. Mon Maître m'expliqua ce que je prenais pour un échec et me conseilla pour améliorer cela à la prochaine séance.
J'ai pris beaucoup de plaisir à vivre à fond cette séance et je remercie mon Maître de m'y avoir conduit dans d'aussi bonnes conditions.
La route fut tout sauf tranquille. Les départs en vacances formaient sur la majeur partie du trajet un bouchon dont j'aurai volontiers fait sauter à cause du retard qu'il entraînait à mon rendez-vous. Toutefois, je ne cédais à aucun énervement. Après tout ça n'allait pas changer la situation et autant ne pas gâcher la séance à venir avec un quelconque énervement inutile. Je préviens mon Maître de la situation pour qu'il ne s'inquiète pas de trop lors d'un arrêt prolongé sur la route.
Enfin arrivée au lieu de rendez-vous j'informe mon Maître de ma présence et attend sagement le signal pour le rejoindre. J'avais une envie de pipi, forcément avec un temps de route bien plus long que prévu. Pour cette séance mon Maître m'avait demandée de garder ma culotte du matin et de garder le rosebud dans mon sac. Porter une culotte est tout de même plus agréable car j'ai l'impression d'être un peu plus protéger. Mais en aucun cas, j'avais imaginé le programme qui m'attendait.
Enfin le signal ! je rejoins mon Maître qui m'attend avec impatience. Forcément, son plus grand plaisir est de me faire traîner avant d'aller soulager mon envie pressante, sourire au coin. Il m'ordonna d'ôter tous les accessoires sans intérêt pour le jeu et m'autorisa à aller au toilette. Alors que j'apprêtais à fermer la porte, il la bloqua et resta planté devant moi pour m'observer dans cette situation fort humiliante. Il m'interdit le droit de m'essuyer m'obligeant à remettre ma culotte dans ses conditions.
De retour dans la pièce principale, mon Maître me dit : "Connais-tu l'histoire de la culotte qui ne sert à rien ? " Je le regardais surprise, car jusqu'à présent, j'avais toujours bien saisi l'intérêt et l'usage du port de la culotte. Mais là où voulait-il en venir ? Je ne savais pas et je n'allais pas tarder à le découvrir. Il commença par passer ses doigts entre les élastiques et à tirer dessus imposant au tissus des formes pour les moins originales. Mes lèvres sont alors divisés par le tissus qui exerce une pression ondulante sur le clitoris. Un plaisir étrange s'installe alors en moi, mélange d'excitation d'une situation inattendue et l'envie de vivre ce jeu. La culotte craque, gémit, mais refuse de céder à mon Maître.
La résistance de la culotte n'effraie en aucun cas mon Maître qui décide alors de tendre sa toile autour de mes seins formant un soutien-gorge solide et à la corde suffisamment tendue. Puis à l'aide d'une deuxième corde, il me crée un string tout aussi tendu. Puis saisissant son stimulateur, il fit vibrer les cordes sur tout mon corps. L'instrument de musique que j'étais devenue en cet instant précis subissait les ondes de plaisir sur mon corps intégral. Le plaisir s'intensifiait et occupait entièrement mon esprit. Je ne pouvais plus percevoir ce qui m'entourait, si ce n'est l'épaule rassurante de mon Maître satisfait de l'effet provoqué.
Il m'autorisa à m'allonger sur la table basse et poursuivi jusqu'à la jouissance. D'abord une première fois où elle fut intense et puissante du fait de la préparation durant la semaine. Et puis une deuxième tentative d'un plaisir fougueux mais qui n'a pas abouti à la jouissance. Mon Maître m'expliqua ce que je prenais pour un échec et me conseilla pour améliorer cela à la prochaine séance.
J'ai pris beaucoup de plaisir à vivre à fond cette séance et je remercie mon Maître de m'y avoir conduit dans d'aussi bonnes conditions.