mardi 11 avril 2017

La culotte résistante

10:01 Posté par Unknown , Pas de commentaire
Pour cette nouvelle séance, mon Maître avait longuement réfléchit au plaisir qu'il souhaitait me faire découvrir. Il ne m'avait à son habitude fait part d'aucun indice susceptible de me guider dans ses intentions de jeu. Je pris la route sereine mais avec l'esprit bien préoccupé à cette séance à venir si mystérieuse une fois de plus.

La route fut tout sauf tranquille. Les départs en vacances formaient sur la majeur partie du trajet un bouchon dont j'aurai volontiers fait sauter à cause du retard qu'il entraînait à mon rendez-vous. Toutefois, je ne cédais à aucun énervement. Après tout ça n'allait pas changer la situation et autant ne pas gâcher la séance à venir avec un quelconque énervement inutile. Je préviens mon Maître de la situation pour qu'il ne s'inquiète pas de trop lors d'un arrêt prolongé sur la route.

Enfin arrivée au lieu de rendez-vous j'informe mon Maître de ma présence et attend sagement le signal pour le rejoindre. J'avais une envie de pipi, forcément avec un temps de route bien plus long que prévu. Pour cette séance mon Maître m'avait demandée de garder ma culotte du matin et de garder le rosebud dans mon sac. Porter une culotte est tout de même plus agréable car j'ai l'impression d'être un peu plus protéger. Mais en aucun cas, j'avais imaginé le programme qui m'attendait.

Enfin le signal ! je rejoins mon Maître qui m'attend avec impatience. Forcément, son plus grand plaisir est de me faire traîner avant d'aller soulager mon envie pressante, sourire au coin. Il m'ordonna d'ôter tous les accessoires sans intérêt pour le jeu et m'autorisa à aller au toilette. Alors que j'apprêtais à fermer la porte, il la bloqua et resta planté devant moi pour m'observer dans cette situation fort humiliante. Il m'interdit le droit de m'essuyer m'obligeant à remettre ma culotte dans ses conditions.

De retour dans la pièce principale, mon Maître me dit : "Connais-tu l'histoire de la culotte qui ne sert à rien ? " Je le regardais surprise, car jusqu'à présent, j'avais toujours bien saisi l'intérêt et l'usage du port de la culotte. Mais là où voulait-il en venir ? Je ne savais pas et je n'allais pas tarder à le découvrir. Il commença par passer ses doigts entre les élastiques et à tirer dessus imposant au tissus des formes pour les moins originales. Mes lèvres sont alors divisés par le tissus qui exerce une pression ondulante sur le clitoris. Un plaisir étrange s'installe alors en moi, mélange d'excitation d'une situation inattendue et l'envie de vivre ce jeu. La culotte craque, gémit, mais refuse de céder à mon Maître.

La résistance de la culotte n'effraie en aucun cas mon Maître qui décide alors de tendre sa toile autour de mes seins formant un soutien-gorge solide et à la corde suffisamment tendue. Puis à l'aide d'une deuxième corde, il me crée un string tout aussi tendu. Puis saisissant son stimulateur, il fit vibrer les cordes sur tout mon corps. L'instrument de musique que j'étais devenue en cet instant précis subissait les ondes de plaisir sur mon corps intégral. Le plaisir s'intensifiait et occupait entièrement mon esprit. Je ne pouvais plus percevoir ce qui m'entourait, si ce n'est l'épaule rassurante de mon Maître satisfait de l'effet provoqué.

Il m'autorisa à m'allonger sur la table basse et poursuivi jusqu'à la jouissance. D'abord une première fois où elle fut intense et puissante du fait de la préparation durant la semaine. Et puis une deuxième tentative d'un plaisir fougueux mais qui n'a pas abouti à la jouissance. Mon Maître m'expliqua ce que je prenais pour un échec et me conseilla pour améliorer cela à la prochaine séance.

J'ai pris beaucoup de plaisir à vivre à fond cette séance et je remercie mon Maître de m'y avoir conduit dans d'aussi bonnes conditions.

mercredi 5 avril 2017

Nez en moins !!!

22:42 Posté par Unknown , 2 commentaires


Quand arrive le jour où le destin nous rapproche, il est courant de devoir assumer de vieux griefs du passé. Professeur Max m'avait promis une sanction exemplaire suite à une bêtise que j'avais commis quelques mois plus tôt. C'est avec justice qu'il m'informa de sa volonté de me punir pour mon insolence lors de mon passage près de chez lui. J'espérai que mon Maître viendrait à mon secours. Comme toujours, je lui informais de la demande de Professeur Max et le mis en contact avec lui. Ce qu'il se passa entre ne me fut pas communiquée. Mon Maître m'habitue à ne pas avoir à imaginer ce que demain sera mais juste à vivre ce qu'aujourd'hui m'offre. Cela est très agréable car la vie semble bien plus paisible ainsi, même si parallèlement, un jeu se dessine pour mon plus grand plaisir.

Une semaine avant le jour J, mon Maître décida de taire sa décision sur la rencontre avec Professeur Max, laissant dans mon organisation la programmation d'une rencontre de retrouvailles. De son côté Professeur Max n'en disait guère plus, si ce n'est qu'il était déterminé à me faire payer mes insolences qui entrent temps c'était cumulé selon lui. J'avais beaucoup de mal à le croire, car j'ai pour habitude de prendre bien soin de mes relations. Les taquineries et quelques provocations n'ont pour objectif que leur bien être psychique et l'entretien d'une intelligence cognitive indispensable à leur équilibre mental. Bref, en résumé, je prends bien soin d'eux pour leur plus grand bien.

Mon Maître, au même titre que Professeur Max apprécie beaucoup mon humour, mais tel un boomerang, mon bien être me revient de plein fouet à mon bon souvenir et s'impose à moi comme une faute qui ne peut être effacée qu'après une sanction dûment appliquée. Trente minutes avant de retrouver Professeur Max je reçus un SMS de mon Maître :

"Tu vas te mettre en robe sans culotte. Et tu te tiens à sa disposition. "
Je compris alors que je devrais accepter la punition et obéir à Professeur Max. Par contre, je n'avais pas prévu de robe durant mon séjour et par conséquent il m'était impossible de satisfaire la demande de mon Maître. Je ne pouvais pas faire autrement que lui dire la vérité. Et sa réaction ne se fit pas attendre. Bien que l'échange ne se faisait que par SMS, je sentais dans ses mots l'insatisfaction et le "on en reparlera samedi pour ta punition" me fit froid dans le dos.
Les retrouvailles avec Professeur Max furent chaleureuses. Après avoir s'être désaltéré et passé l'étape de retrouvaille, Professeur Max pris le contrôle de la situation.
- "Tu sais pourquoi je suis là ?" m'interroge-t-il avec un sourire en coin.
- "Oui bien sûr. ça fait si longtemps qu'on ne s'était pas vu. Je te manque tellement que tu as tout fait pour venir me voir aujourd'hui. Je suis très émue d'ailleurs." J'avais très bien compris où il voulait en venir, mais mon côté chipie prenait l'ascendant. Il fallait donc que je trouve une solution pour retarder encore un peu l'inévitable.
- "C'est un fait. Et je suis très heureux de te retrouver. Néanmoins ..."
Je l'interrompais
- "Nez en moins ? Mais qu'as-tu fait à ton nez ? Tu ne sens pas la punition ? Tu la trouves tout compte fait injuste ?"
- "Pas vraiment non et nous allons régler cela de suite". Sur ces mots il se dirigea vers le canapé.

Je le suivais par envie du jeu qui allait suivre. Il avait récupéré son martinet nommé "caressante" qu'il posa sur la table basse.
- "Tu ne devais pas être en robe ? " me demanda-t-il ?
- "J'en ai pas ici. Mais comment tu sais ça ? "
- "J'ai reçu un SMS de ton Maître avant d'arriver".

Puis il m'attrapa par le bras et me fis m'allonger sur ses genoux. La fessée commença avec des paroles que je refusais d'écouter préférant réfléchir au tour que j'allais bien pouvoir lui faire. Malheureusement pour moi, ses chaussures n'avaient pas de lacets, il me fallait donc trouver autre chose. Pendant ce temps les claques tombaient sur mes fesses et, surement l'effet du printemps, je perdais progressivement mes vêtements pour me retrouver les fesses à l'air. Les claques me piquaient et leur rythme provoquaient un réel plaisir. Ce qui me motiva à trouver rapidement une bêtise à faire pour la faire durer un peu plus.

C'est alors que l'instant s'offrit à moi. Professeur Max était très occupé à vouloir prendre mes fesses en photo comme lui avait demandé mon Maître. Mais n'arrivant pas à le faire, il a momentanément détourné sa surveillance. Je saisis l'occasion pour récupérer sa "caressante" et d'un geste précis et rapide, je l'a cachée sous le canapé. Et tout anodinement je repris ma position, en lui montrant que cela devenait inconfortable.

- "On n'a pas fini. Tu vas à présent goûter de ma caressante."
Puis s'apprêtant à prendre son martinet
- "Mais où as-tu mis ma caressante ? "
- "De quoi tu me parles Max ? j'ai pas bougé de ma position. Comment veux-tu que je sache où tu as mis ton martinet ? "
Professeur Max n'avait pas du tout l'intention de perdre son temps à chercher l'instrument. Et bien qu'il ne m'ait pas vu cacher le martinet, il avait senti ma bêtise (même avec le nez en moins, ce qui est surprenant).
- "Donne-moi la caressante que je finisse la punition."
- "Et si je ne veux pas te la donner que va-t-il se passer ? " demandai-je avec beaucoup d'ironie et d'insolence.
- "Je me mettrai en colère et tu seras doublement punie."
A l'idée de le mettre en colère, même pour un jeu me déplu fortement, car je devais aussi honorer mon Maître. Et donc là, j'aurais été en faute et ça, je ne l'acceptais pas. Je récupérai la "caressante" et l'a lui donnée. Il finit la punition.

Durant les dernières photos debout, je sentais mes fesses chauffer. J'étais surprise de cet effet et j'ai beaucoup apprécié.

J'ai passé une très bonne partie de jeu avec des sensations très agréables. Je remercie mon Maître et Professeur Max de m'avoir ainsi apporté du plaisir. Et promis, je recommencerai mes bêtises.