Le mal a dit que je devais m'accrocher pour pouvoir à nouveau retrouver mon Maître. Un moment d'intime plaisir et de liberté que je n'échangerai pour rien au monde. Une rhinite nous avait obligé de reporter la séance. Je m'en voulais d'être ainsi malade. J'avais tellement envie d'être là dans ce partage envoûtant d'une séance.
Toute la semaine je pensais en silence à l'aventure que me réservait mon Maître. Qu'allait-il encore trouver pour titiller mes sens. J'étais si impatiente. Dans nos échanges quotidiens j'ai glissé à mon Maître cette douce envie de fessées qui me hanter depuis plusieurs jours. J'avais besoin de tout quitter, d'oublier un instant ce monte pour un instant de liberté dans la puissance du plaisir.
Mon Maître avait très bien compris mon attente et mon besoin. Impartialement, il me préparait à la rencontre sans trop de tentation toutefois. Mon envie était si perceptible qu'il savait qu'un rien suffirait à me faire partir. Il avait aussi bien compris que j'avais besoin de le retrouver avec son autorité charismatique dont je rafole quand, comme là, je sature.
Le froid avait recouvert nos maisons et bien que l'après-midi s'installait, la chaleur s'épanouissait derrière les carreaux des maisons. Je pris la route sereine et le chauffage à fond pour ne pas aggraver mon état. J'étais toujours un peu prise par mon sale virus. Mais je me sentais assez forte pour profiter à fond de la séance.
Mon Maître m'attendait. Il avait pris soin d'allumer un bon feu de bois pour que je n'attrape pas froid. Il m'autorisa à garder ma robe. Aujourd'hui la séance se fera ainsi. J'aime lorsqu'il s'approche de moi et que je sens son souffle près de mon corps. Cela m'apaise et me rassure. Il me lève la robe et me claque la fesse nue. Je sursaute. La douleur m'a surprise. Inconsciemment mon cerveau se branche en mode chipie et je résiste. Ce qui me vaut des claques sur chaque fesse.
Quelques claques de mise en condition plus tard, je me retrouvais penchée sur la table. Les claques cédaient leur place à la cravache. Je me dandinais sous les coups. La douleur commençait à me libérer. Je me laissais porter. Mon clitoris s'enivrait de ses caresses. La badine entrait à son tour donnant à la rythmique une note aigu. Mon plaisir naissait sous les yeux de mon Maître attentif et concentré sur mes moindres gestes.
Des pinces entrèrent en scène. Sur chaque lèvre elles s'agrippèrent avec détermination. A leur tête, l'une d'entre elles avaient été désignée pour pincer mon organe du plaisir. C'était douloureusement excitant. Mon Maître choisit alors de me faire découvrir une douce souffrance avec le stimulateur clitorien. Les pinces répandaient les ondes du bonheur au point que je sentais le plaisir au porte de la jouissance. Mon Maître l'a vu et cessa immédiatement ce jeu. J'étais frustrée, j'y étais presque.
Puis il repris la fessée, à la main. Les fesses rebondissaient sous ses claques et mon clitos hurlait du plaisir qui n'attendait le droit de s'exprimer. Je m'enfonçais doucement dans les méandres du bien être et du lâché-prise. Mon Maître alterné les claques et les caresses. Mon esprit avait quitté la réalité. J'étais dans un état second. J'étais bien, en paix et détendue.
Mon Maître me trouvant à point m'offrir le droit à la jouissance. Il poursuivit les coups de cravache et de badine. Sans m'en rendre vraiment compte, je désobéis à mon Maître en resserrant les jambes en guise de protection contre cette badine sévère. La punition tomba J'acceptais la sentence et pris conscience que je devais cesser mes contrôles. Mon Maître prit la boule stimulante et la plaça avec une précision terrible. De l'autre main, il pinçait mon têton. Impossible de contrôler mes sens. Je subissais de plein fouet le puissant plaisir qu'il allait me procurer. Une explosion d'étoiles intérieures m'envahit. J'avais l'impression de voir mon corps se vider littéralement. Le sourire de satisfaction sur les lèvres, mon Maître maintient rigoureusement la position jusqu'à ce que mon cri s'estompe épuisé et vaincue. Lessivée, vidée de tout, j'ai mis du temps à revenir à moi.
Lors de cette séance j'ai renoué avec la transe en partie. Un lâché-prise libérateur et reboostant. Merci mon Maître pour cette merveilleuse séance.
Toute la semaine je pensais en silence à l'aventure que me réservait mon Maître. Qu'allait-il encore trouver pour titiller mes sens. J'étais si impatiente. Dans nos échanges quotidiens j'ai glissé à mon Maître cette douce envie de fessées qui me hanter depuis plusieurs jours. J'avais besoin de tout quitter, d'oublier un instant ce monte pour un instant de liberté dans la puissance du plaisir.
Mon Maître avait très bien compris mon attente et mon besoin. Impartialement, il me préparait à la rencontre sans trop de tentation toutefois. Mon envie était si perceptible qu'il savait qu'un rien suffirait à me faire partir. Il avait aussi bien compris que j'avais besoin de le retrouver avec son autorité charismatique dont je rafole quand, comme là, je sature.
Le froid avait recouvert nos maisons et bien que l'après-midi s'installait, la chaleur s'épanouissait derrière les carreaux des maisons. Je pris la route sereine et le chauffage à fond pour ne pas aggraver mon état. J'étais toujours un peu prise par mon sale virus. Mais je me sentais assez forte pour profiter à fond de la séance.
Mon Maître m'attendait. Il avait pris soin d'allumer un bon feu de bois pour que je n'attrape pas froid. Il m'autorisa à garder ma robe. Aujourd'hui la séance se fera ainsi. J'aime lorsqu'il s'approche de moi et que je sens son souffle près de mon corps. Cela m'apaise et me rassure. Il me lève la robe et me claque la fesse nue. Je sursaute. La douleur m'a surprise. Inconsciemment mon cerveau se branche en mode chipie et je résiste. Ce qui me vaut des claques sur chaque fesse.
Quelques claques de mise en condition plus tard, je me retrouvais penchée sur la table. Les claques cédaient leur place à la cravache. Je me dandinais sous les coups. La douleur commençait à me libérer. Je me laissais porter. Mon clitoris s'enivrait de ses caresses. La badine entrait à son tour donnant à la rythmique une note aigu. Mon plaisir naissait sous les yeux de mon Maître attentif et concentré sur mes moindres gestes.
Des pinces entrèrent en scène. Sur chaque lèvre elles s'agrippèrent avec détermination. A leur tête, l'une d'entre elles avaient été désignée pour pincer mon organe du plaisir. C'était douloureusement excitant. Mon Maître choisit alors de me faire découvrir une douce souffrance avec le stimulateur clitorien. Les pinces répandaient les ondes du bonheur au point que je sentais le plaisir au porte de la jouissance. Mon Maître l'a vu et cessa immédiatement ce jeu. J'étais frustrée, j'y étais presque.
Puis il repris la fessée, à la main. Les fesses rebondissaient sous ses claques et mon clitos hurlait du plaisir qui n'attendait le droit de s'exprimer. Je m'enfonçais doucement dans les méandres du bien être et du lâché-prise. Mon Maître alterné les claques et les caresses. Mon esprit avait quitté la réalité. J'étais dans un état second. J'étais bien, en paix et détendue.
Mon Maître me trouvant à point m'offrir le droit à la jouissance. Il poursuivit les coups de cravache et de badine. Sans m'en rendre vraiment compte, je désobéis à mon Maître en resserrant les jambes en guise de protection contre cette badine sévère. La punition tomba J'acceptais la sentence et pris conscience que je devais cesser mes contrôles. Mon Maître prit la boule stimulante et la plaça avec une précision terrible. De l'autre main, il pinçait mon têton. Impossible de contrôler mes sens. Je subissais de plein fouet le puissant plaisir qu'il allait me procurer. Une explosion d'étoiles intérieures m'envahit. J'avais l'impression de voir mon corps se vider littéralement. Le sourire de satisfaction sur les lèvres, mon Maître maintient rigoureusement la position jusqu'à ce que mon cri s'estompe épuisé et vaincue. Lessivée, vidée de tout, j'ai mis du temps à revenir à moi.
Lors de cette séance j'ai renoué avec la transe en partie. Un lâché-prise libérateur et reboostant. Merci mon Maître pour cette merveilleuse séance.