samedi 20 mai 2017

L'exigence

11:42 Posté par Unknown , Pas de commentaire
Source : http://photographe-paris-mode.skyrock.com
Cette séance là fut pour moi un moment intense et profond dans le don de soi et l'acceptation. Comme toujours je n'étais au courant que du strict nécessaire d'avant séance. J'ai pris la route pour rejoindre mon Maître en priant pour que les bouchons ne soient pas trop pénalisant sur mon temps de trajet. Et ce sera avec 2 min de retard que j'annonçais ma présence à mon Maître. Un peu plus tôt, pris dans les embouteillages je l'avais prévenu par SMS lorsque bloquée je devais patienter à l'arrêt. Il m'avait répondu, mais la circulation reprenant, je n'ai lu sa réponse qu'à son arrivée : "tu fuis la punition". Le sang augmentant sa vitesse laissait à son passage un courant d'air froid qui me glaça. Le signal. La séance va commencer.

J'entre et à mon habitude maintenant je demande l'autaorisation d'aller me soulager. La route et la peur de l'inconnue de la séance sont pour moi tout aussi cruel physiologiquement que les jeux qui suivront. Mon Maître s'en amuse et voyant que j'insistais de manière un peu trop autoritaire, il s'approcha de moi et me tira par le téton. Je râlais car c'était douloureux et gênant. Quelle erreur ! il me fit reculer de la même manière et après avoir pris le temps de s'arrêter me tira à nouveau vers lui jusqu'au toilette. Son regard était déterminé et bien que sa voix fut toujours aussi douce, les mots étaient autoritaires et précis.

Il me ramena de la même manière dans la pièce de jeu. Il s'amusa avec mes seins et mes tétons. C'est alors qu'il me demanda de m'appuyer sur le dossier de la chaise laissant de fait mes seins pendre insolemment. Il pris alors ses pinces à sein dont la simple vu m'effrayées et les mis en place. J'avais envie de me faire pardonner de mon arrivée pas intelligente, mais aussi d'arriver à supporter ce jeu là car j'avais remarqué qu'un plaisir différent de ceux que je connaissais apparaissait alors. Et si mon Maître m'emmenait sur cette voie c'était justement pour que je le vive. Je m'efforçais à tenir à cette douleur. Je soufflais et me calmer pour ne pas laisser la peur et l'appréhension gâcher le jeu. Seule la douleur étaient présent et le plaisir qui doucement montait en moi. Mon Maître me caressait le clito et je mouillais sans le moindre effort. Il décida de faire un pas de plus en y ajoutant deux gros cadenas à lest à chaque pince. La douleur était difficile et les larmes commençaient à faire leur apparition. Mon Maître les avaient bien vu, mais me laissait encore un peu vivre ce plaisir puissant et si différent. Puis il enleva les pinces provoquant une douleur encore plus aigue qui me fit craquer. Il me prit dans ses bras et me rassura.

J'étais sans aucun doute complètement soumise à ses désirs à l'issue de ce premier jeu. Il décida alors de me faire découvrir la puissance du plaisir du bondage. Durant de longues minutes, il pris minutieusement le temps de tisser autour de mon corps un vêtement de cordes. Elles étaient tellement tendues que j'aurai pu en faire un instrument de musique. Je ne comprenais pas où il voulait me conduire, mais ce ne fut que de court durée. Munis de son simulateur de clitoris, il le posa sur les cordes. L'onde se répandit alors sur tout mon corps le faisant vibrer de milles sensations. J'étais complètement désorientée par ce plaisir si fort au point qu'un petit malaise me perturba. Il m'accorda le droit de m'allonger sur le dos, et poursuivit le jeu. Le plaisir étaient divin et intense. Mon défaut de vouloir tout contrôler repris un instant l'ascendant face à la force de ce plaisir qui d'un autre côté me faisait peur aussi. Alors mon Maître pinça à nouveau mes tétons jusqu'à ce que je lâche le contrôle et vive le plaisir à son comble.

J'ai terminé la séance épuisée et heureuse. Mon Maître avaient été exigeant dans ses attentes du jeu. Merci Maître pour cette séance difficile mais si magnifiquement intense.

lundi 8 mai 2017

Le pouvoir des tétons féminins

16:31 Posté par Unknown , Pas de commentaire





En ce beau mois d'avril, mon Maître m'avait donnée rendez-vous pour une séance qui aller être une fois de plus pleines de surprises. J'avais pour crainte majeur d'être bloquée dans les embouteillages du fait des échanges entre vacanciers. Quelle ne fut m'a surprise lorsque j'atteignis le lieu de rencontre avec un quart d'heure d'avance. J'étais contente de moi et imaginais avec joie occuper ce temps supplémentaire pour soulager une envie pressante en toute intimité. Seulement voilà, mon Maître lui, considère que tout temps gagné sur le programme est un temps de plus pour son plaisir personnel. Je ne peux pas vraiment lui en vouloir, car j'apprécie vraiment. Mais là, j'aurai aimé bénéficier de ce bref instant d'intimité qui au final ne me fut pas accordée.

Très fier de sa réponse par SMS, mon Maître me recadra avec une finesse d'esprit que j'adore certes, mais au combien agaçante car difficile à contrer. Et je dus sans broncher aller honteusement me soulager sous son regard voyeur. J'ai beau me dire que c'est mon Maître, ça n'en reste pas moins un moment d'humiliation auquel je ne m'habitue pas. Parfois, je me mets à penser à un contrôle tel de ma vessie que la peur ne génèrerait plus d'envie pressante. J'hésite aussi à m'arrêter sur le bord de la route. Mais voilà, trouver le lieu c'est juste difficile. 

Un film de BDSM tourne en fond dans un tintamarre mixant les jouets de plaisir et les cris et chuchotement du Maître et de sa soumise. Mon Maître avait la ferme intention de vérifier une théorie que j'ai osé émettre lors d'un échange SMS. J'ai l'habitude d'utiliser le "pfff" dès qu'une occasion se présente, ce qui désespère mon Maître. Aussi, il est déterminé à m'en faire passer l'envie. Mais jusqu'à présent j'y échappe toujours de justesse. Sauf que cette fois, je me suis faite avoir, non pas en ayant atteint le nombre de "pfff" fatidiques, mais en ayant fourni une explication des plus douteuses. En effet, j'ai associé le "pfff" au bruit que pouvait faire la cravache. Forcément, mon Maître a voulu vérifier ma théorie. Il saisit alors sa belle cravache rouge bordeaux. De la main droite, il enserre le manche et de sa main gauche tente de la redresser un peu, quand soudain, l'impensable se réalisa. La cravache sous la pression se cassa. Adieu la vérification du "pfff" en lien avec la cravache. J'étais momentanément soulagée, car il m'a promis d'en racheter une. En attendant, c'était pas le jour de la vérification de la théorie.

Que cela ne tienne. Mon Maître ne se laissa pas emporter par la mort de sa cravache. Et courageusement il reprit le cours des choses et se mis à jouer avec mes tétons et mes seins. C'est pour moi une zone très sensible et il le sait très bien. Seulement, j'avais déjà prouvé que j'étais capable de supporter bien plus que ça et donc que j'étais un peu trop dans la comédie. Aussi mon Maître m'expliqua qu'il n'entendait pas et que le filament qui reliait les deux oreilles devait être abîmé. Un filament qui relie les deux oreilles ? mon Maître se moquait bien de moi, mais que cela ne tienne, je répliquais par le fait qu'il se prenait pour une lumière. Forcément, j'ai payé le prix de mon insolence, même si le fou-rire ne lui avait pas échappé. Puis voyant que mon état était satisfaisant, il décida de me pousser le plus loin possible dans la jouissance.

La séance comme à son habitude m'a paru si courte et pourtant si intense. J'ai beaucoup rigolé à l'idée de mon Maître avec une tête en forme d'ampoule électrique que je n'ai cessé de le taquiner avec. Mais à côté de ce côté espiègle qui m'arrive d'avoir, j'ai beaucoup apprécié les progrès que mon Maître m'a encore permis de réaliser.

Merci Maître pour cette agréable séance.